*Document non contractuel. Voir conditions en agence
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Notre comparatif neuf/ancien
Un jeune couple souhaite devenir propriétaire d’un T3 situé en zone A.
Ils possèdent 1 850 € de revenus chacun et un RFR de 35 000 €
Acheter un logement neuf
T3 330 000 €
Frais de notaire 6 600 €
Apport de 10% 36 000 €
Cuisine 5 000 €
Coût total
336 600 €
Emprunt
307 600 €
PTZ
112 500 € à 0%
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 271€/mois
Acheter un logement ancien
T3 260 000 €
Frais de notaire 20 800 €
Apport de 10% 28 000 €
Coût total
280 800 €
Emprunt
252 800 €
PTZ
Non éligible
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 278€/mois
*Document non contractuel. Voir conditions en agence
Malgré un prix d’acquisition plus bas pour un bien ancien, la mensualité reste identique à celle d’un logement neuf : alors pourquoi ne pas investir dans un bien neuf et profiter de ses nombreux atouts, tels que des frais de notaire réduits, de meilleures performances énergétiques et des garanties constructeur pour un investissement sécurisé et durable ?
Le Cologne Institute for Economic Reseach a dévoilé une étude, partagée par le site d’informations économiques BFM Business, montrant que Toulouse est la ville qui s’est le plus enrichie depuis 2003. Comment expliquer ce boom du Produit intérieur brut par habitant (PIB) ? Explications.
Toulouse est une habituée des classements. Souvent définie comme une ville étudiante de renom et une des plus attractives de France, la métropole est prisée par les investissements immobiliers. Dernièrement, on a pu constater qu’en à peine dix ans, entre 2003 et 2013, le PIB par toulousain a augmenté de 31,6 %. En passant, de fait, de 28 733 € à 37 833 €. Une impressionnante croissance qui permet à la principale ville de la récente Occitanie de devancer Paris, la capitale française. Cette dernière a, tout de même, connu une hausse de 31,56 %. Suite à ces analyses, il s’avère que Toulouse est considérée comme la ville française qui s’est le plus enrichie depuis 2003. Toutefois, 2010 a été une année charnière pour la Ville rose. Depuis cette date la ville a connu une croissance de 9,4 %. Une forte progression qui permet, une nouvelle fois, à la Ville rose de se classer devant Paris avec 3,8 %.
Comment cette croissance économique a-t-elle eu lieu ?
Deux principaux secteurs sont responsables de ce formidable exploit économique : l’aéronautique et le spatial. Ces deux secteurs d’activités sont très prisés et attractifs par bon nombre d’ingénieurs. Ces derniers, viennent compléter le lot de scientifiques très qualifiés déjà présent dans l’écosystème toulousain. Les acteurs, comme le président de Toulouse Métropole Jean-Luc Moudenc, s’attellent, d’ailleurs, à le rendre de plus en plus performant. Le géant de la construction aéronautique européen Airbus sur le site de Blagnac compte, à lui seul, près de 21 000 employés. Ces derniers proviennent pour la plupart du territoire français, et plus particulièrement de la région Île-de-France. Par ailleurs, grâce aux diverses commandes enregistrées par la société, au moins dix années de productions sont assurées. Autrement, Airbus ajoute tout un réseau d'entreprises sous-traitantes comme Safran et Thalès qui lui sont indispensables.
Toulouse est aussi terre d’innovations qui comptent beaucoup de start-ups spécialisées dans le domaine du numérique. Cela représente une place importante dans l’économie de l’agglomération. En 2014, la Ville rose a d’ailleurs été remerciée de l'aide qu’elle apporte à ces « jeunes pousses » en obtenant le Label French Touch. Une vraie vitrine pour la ville. Par ailleurs, celle-ci jouit aussi d’un impressionnant rayonnement dans le domaine de la recherche et de l’éducation. Cela grâce à l’École économique de Toulouse et l’économiste Jean Tirole. Le Toulousain qui a obtenu le Prix Nobel de l’économie en 2014.
Tous ces critères font de Toulouse et de toutes les communes de son agglomération des cibles privilégiées et sujettes à des investissements immobiliers neufs. En effet, de nombreux programmes de logements et d’appartements neufs naissent régulièrement dans la Ville rose et sa périphérie. Le tout, afin de pouvoir accueillir les quelques milliers de nouveaux arrivants annuels.
L’Est et le Centre enregistrent la moins forte hausse du PIB/habitant
L’étude montre, également, une autre réalité du développement économique français. Les régions du Centre et de l’Est sont en retard comparées au Sud et à l’Ouest. En effet, les grandes villes comme Strasbourg, Reims et Tours ne parviennent pas à atteindre une croissance de 20 %. Ces villes ont respectivement connu une hausse du PIB/habitant de 19,79 %, 17,67 % et de 18,66 %. À l’inverse, les grandes villes du Sud comme Nice, Marseille et Montpellier, ont leur PIB qui ont augmenté d’au minimum 25 %.
Grâce à cette étude, Toulouse se positionne comme une terre sujette à d’excellentes perspectives d’investissements immobiliers.
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