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Notre comparatif neuf/ancien
Un jeune couple souhaite devenir propriétaire d’un T3 situé en zone A.
Ils possèdent 1 850 € de revenus chacun et un RFR de 35 000 €
Acheter un logement neuf
T3 330 000 €
Frais de notaire 6 600 €
Apport de 10% 36 000 €
Cuisine 5 000 €
Coût total
336 600 €
Emprunt
307 600 €
PTZ
112 500 € à 0%
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 271€/mois
Acheter un logement ancien
T3 260 000 €
Frais de notaire 20 800 €
Apport de 10% 28 000 €
Coût total
280 800 €
Emprunt
252 800 €
PTZ
Non éligible
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 278€/mois
*Document non contractuel. Voir conditions en agence
Malgré un prix d’acquisition plus bas pour un bien ancien, la mensualité reste identique à celle d’un logement neuf : alors pourquoi ne pas investir dans un bien neuf et profiter de ses nombreux atouts, tels que des frais de notaire réduits, de meilleures performances énergétiques et des garanties constructeur pour un investissement sécurisé et durable ?
En juin 2025, le prix médian des logements à Toulouse s’élève à 3 950 €/m² toutes catégories confondues. Les chiffres 2025, marquent une légère progression d'environ 2 % sur un an, très loin des bonds enregistrés en 2021-2022.
Le marché reste néanmoins actif : un bien met 57 jours pour passer de l’annonce à la signature du compromis, contre 49 jours début 2024 selon le Figaro Immobilier.
Les prix au m² par typologie à Toulouse
Nombre de pièces
Prix médian en €/m²
Évolution 1 an
Évolution 5 ans
Studio
4860
+4 %
+18 %
2 pièces
3740
+2 %
+16 %
3 pièces
3250
+1 %
+14 %
4 pièces
3460
-0,5 %
+10 %
5 pièces
3430
+1 %
+11 %
6 pièces et +
3511
+0,3 %
+9 %
À Toulouse comme partout ailleurs, les écarts restent très marqués selon la taille du logement. Les studios, très nombreux dans l’hypercentre étudiant, culminent à 4 860 €/m² ; le T2 suit à 3 740 €/m². Le prix tombe sous 3 300 €/m² pour les T3, puis fléchit légèrement sur les quatre et cinq pièces.
Sur le marché intra-muros toulousain, certains quartiers atteignent des sommets. C’est le cas des Carmes, en tête avec un prix médian de 5 504 €/m², suivis de près par Jean-Jaurès (4 883 €/m²). Ces secteurs du cœur historique et des abords de l’hypercentre concentrent un bâti ancien de caractère, des adresses recherchées, en plus d'une offre rare qui booste les tarifs.
À l’inverse, Lafourguette (2 487 €/m²) et Saint-Simon (3 112 €/m²) s’affichent comme les secteurs les plus abordables de la ville. Ces quartiers périphériques ne sont clairement pas les plus proches du centre mais ils proposent une alternative résidentielle pour les ménages à budgets plus serrés ou qui privilégient l’espace et la tranquillité à la proximité immédiate du centre-ville.
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Dans le parc immobilier toulousain, deux communes affichent des prix très similaires à ceux de l'intra périphérique : Pin-Balma, avec 4 023 €/m², et Balma, à 3 795 €/m². Ces secteurs prisés, en lisière immédiate de la Ville rose, conjuguent environnement résidentiel privilégié, infrastructures de qualité et forte demande de la part des cadres et professions libérales en quête de surfaces familales sur la première couronne de la métropole.
À l’autre bout de l’échelle, Cugnaux (2 845 €/m²) et Fenouillet (2 913 €/m²) offrent un marché plus accessible, sans pour autant sacrifier la connexion à l’agglomération. Moins tendues, ces communes séduisent des ménages aux budgets plus restreints, attirés par des prix raisonnables et une accessibilité correcte.
En juin 2025, selon les données publiées par le Figaro Immobilier, le prix médian d’un appartement à Toulouse (neuf et ancien confondus) atteint 4 064 €/m², en progression de 4 % sur un an.
Les maisons, elles, se vendent en moyenne à 3 473 €/m², en recul de 4 %. L’écart entre les deux types de biens tend donc à se réduire, une tendance déjà amorcée ces dernières années dans la Ville rose.
Ce rapprochement s’explique par la répartition de l’habitat. Les maisons restent présentes intra-muros, à hauteur d’environ 15 % du parc, mais se concentrent dans les quartiers périphériques comme Lardenne, Saint-Simon ou les Minimes.
À l’inverse, les appartements, notamment neufs, multiplient les atouts recherchés en zone urbaine : balcon, ascenseur, parking souterrain… des équipements qui justifient une montée en gamme et contribuent à la hausse des prix.
Côté location, l’écart reste plus net. Les studios en centre-ville affichent des loyers qui flirtent avec les 23 €/m², quand les maisons familiales situées en périphérie se négocient autour de 14 €/m². Ce différentiel, s’il n’est pas nouveau, pourrait se renforcer à mesure que les investisseurs privés, orphelins du dispositif Pinel depuis fin 2024, redéfinissent leurs priorités entre rendement locatif immédiat et potentiel de plus-value sur le long terme.
Neuf ou ancien : l’écart se maintient
Le logement neuf tourne autour de 4 500 €/m², soit environ 20 % de plus que l’ancien. Cette différence recouvre des charges de construction accrues par la norme RE 2020, l’intégration presque systématique d’un extérieur et la mise à disposition d’une place de stationnement.
Les acquéreurs l’acceptent d’autant plus volontiers que le gain énergétique d'un logement neuf peut atteindre 40 % par rapport à un immeuble des années 1970. Les mises en vente se font toutefois rares : les 326 lancements de nouveaux programmes recensés en début d’année ne suffisent pas à renouveler l’offre.
Dans les quartiers où la promotion ralentit, le deux-pièces neuf dépasse parfois 6 000 €/m². À l’inverse, un T2 ancien classé D se négocie autour de 3 500 €/m² mais suppose souvent une enveloppe de travaux de 15 000 € à 20 000 € pour atteindre la classe C.
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