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Notre comparatif neuf/ancien
Un jeune couple souhaite devenir propriétaire d’un T3 situé en zone A.
Ils possèdent 1 850 € de revenus chacun et un RFR de 35 000 €
Acheter un logement neuf
T3 330 000 €
Frais de notaire 6 600 €
Apport de 10% 36 000 €
Cuisine 5 000 €
Coût total
336 600 €
Emprunt
307 600 €
PTZ
112 500 € à 0%
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 271€/mois
Acheter un logement ancien
T3 260 000 €
Frais de notaire 20 800 €
Apport de 10% 28 000 €
Coût total
280 800 €
Emprunt
252 800 €
PTZ
Non éligible
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 278€/mois
*Document non contractuel. Voir conditions en agence
Malgré un prix d’acquisition plus bas pour un bien ancien, la mensualité reste identique à celle d’un logement neuf : alors pourquoi ne pas investir dans un bien neuf et profiter de ses nombreux atouts, tels que des frais de notaire réduits, de meilleures performances énergétiques et des garanties constructeur pour un investissement sécurisé et durable ?
À Colomiers, le quartier du Grand Val d’Aran entre dans la phase clé de son Programme de Renouvellement Urbain, engagé depuis 2017 et programmé jusqu’en 2029.
Avec une enveloppe de 80 millions d’euros, le projet combine la réhabilitation de 295 logements sociaux, la démolition de 134 appartements, la construction d’environ 190 logements neufs, la création de nouveaux équipements publics (Maison des arts martiaux, pôle social, crèche) et l'aménagement d'espaces extérieurs.
3 méthodes : Rénovation, démolition et construction neuve
Pièce maîtresse de la ville nouvelle dessinée par l’équipe de Georges Candilis, le Grand Val d’Aran porte les marqueurs du Mouvement Moderne : séparation des circulations piétonnes et automobiles, “rues intérieures”, unités de voisinage.
Aujourd’hui classé Quartier prioritaire de la politique de la ville, le secteur doit composer avec un bâti énergivore et des équipements arrivés en fin de cycle. Le renouvellement urbain en cours cherche à préserver cette trame d’origine tout en rehaussant le niveau de confort résidentiel et la qualité des services de proximité.
Le diagnostic initial a orienté les travaux vers un traitement massif des déperditions thermiques et une ouverture du quartier. Le secteur, composé à environ 70 % de logements sociaux avant l'opération, voit donc sa typologie évoluer pour favoriser la mixité.
La halte-garderie en terre du Val d’Aran, doit être démolie en novembre 2025. Conçu en 1987 par l’architecte Joseph Colzani, ce bâtiment de 400 m² en terre crue non stabilisée est considéré comme l’un des premiers marchés publics d’Occitanie à utiliser la terre crue et des voûtes nubiennes, aujourd’hui étudiées dans les écoles d’architecture.
Depuis le 17 octobre 2025, une pétition lancée par l’association ARESO demande la préservation de cette construction bioclimatique, mise en avant pour son confort d’été sans climatisation et pour sa valeur de témoin de l’architecture en terre contemporaine.
Le volet logement se décline en trois axes :
Réhabilitation : 295 logements bénéficient d'une rénovation complète pour atteindre l'étiquette énergétique B. Le coût moyen des travaux s'élève à 64 000 euros par habitation (façades, pièces humides, parties communes).
Démolition : Entre 2019 et 2022, la déconstruction de 134 logements sociaux a permis d'aérer les ilots et de supprimer les zones d'enclavement.
Construction : Le plan prévoit la sortie de terre d'environ 190 logements neufs.
La résidence "La Passerelle", livrée en 2025, est un bel exemple de la diversification de l'offre de logements du secteur. Elle associe 40 logements locatifs aidés pour seniors et 25 logements en accession sociale (PSLA). À terme, 125 logements privés compléteront le parc immobilier, introduisant des copropriétaires dans un tissu urbain historiquement locatif.
Un investissement d’environ 80 millions d’euros
Le programme de renouvellement urbain du Grand Val d’Aran repose sur une enveloppe globale
d’environ 80 millions d’euros, portée par le bailleur social, la Ville de Colomiers
et Toulouse Métropole, et cofinancée par plusieurs partenaires publics.
Maîtres d’ouvrage principaux :
Altéal (près de 40M€) : financement de la réhabilitation lourde du parc locatif,
des démolitions-reconstructions et de la résidentialisation.
Ville de Colomiers (environ 20M€) : prise en charge des nouveaux équipements
publics de proximité et des aménagements de quartier.
Toulouse Métropole (environ 20M€) : intervention sur la voirie, les réseaux,
les espaces publics structurants et l’intégration du quartier au reste de la ville.
Partenaires financiers au sein de cette enveloppe :
ANRU : 9,4M€
Fonds européens FEDER : 3,1M€
Région Occitanie : 1,5 M€
Conseil départemental de la Haute-Garonne : 1M€
Une nouvelle Maison des Arts Martiaux, des espaces verts et un pôle social à venir
La restructuration du Grand Val d’Aran redessine la carte des services publics. Le centre commercial ouest laisse place à de nouvelles infrastructures, tout en maintenant la "Rotonde", élément architectural repère du quartier.
Voici le calendrier des livraisons à venir :
2026 : Achèvement du réaménagement de la résidence Gascogne et de ses abords.
2028 : Inauguration de la Maison des arts martiaux et de la boxe. L'Atelier Ferret Architecture, lauréat du concours à l'été 2025, signe cet équipement de 3 000 m². L'investissement de 13 millions d'euros dote le quartier d'un pôle sportif d'envergure métropolitaine.
2028 : Livraison du nouveau pôle social regroupant la Maison citoyenne et la crèche, construits selon les normes environnementales RE2020.
2029 : Finalisation de l'esplanade jardin, futur poumon vert central du quartier.
Connectivité et bassin d’emploi : les atouts de Colomiers
Si la rénovation du bâti améliore clairement l'attractivité du Grand Val d’Aran, son intérêt repose également sur sa connexion au pôle économique toulousain. Colomiers dispose d'une offre de mobilité et de services plutôt enviable.
Un service de transport public particulièrement développé
Le quartier présente le sérieux avantage de sa proximité avec un service de transports publics complets ; proche notamment de la Gare de Colomiers, pôle d’échanges multimodal de l'ouest toulousain.
Le train (Ligne C actuelle) : La liaison Arènes–Colomiers, ex-ligne C de Tisséo empruntant le réseau TER, assure un trajet d’environ 13 minutes, avec une cadence de deux trains par heure aux heures de pointe.
Le futur Métro (Ligne C - TAE) : Les travaux de la troisième ligne de métro prévoient une station à la gare de Colomiers. À l'horizon 2028, cette infrastructure doit mettre Colomiers à environ 20 minutes de Toulouse-Matabiau, et à une trentaine de minutes des principaux sites aéronautiques de l’est toulousain.
Bus à Haut Niveau de Service (BHNS) : La ligne LINEO 2 assure une desserte continue vers Toulouse.
Un secteur riche de services et d'emplois
Le Grand Val d’Aran voisine avec les infrastructures majeures de la ville. Le Pavillon Blanc Henri-Molina, médiathèque et centre d'art conçu par l'architecte Rudy Ricciotti, et l'Espace Nautique Jean-Vauchère constituent des équipements de premier plan pour les résidents.
Sur le plan économique, le quartier profite de la proximité des usines Airbus et du pôle aéronautique de l’ouest toulousain, qui regroupe plusieurs dizaines de milliers d’emplois. Le Lycée International Victor Hugo accueille une section internationale britannique menant au BFI (Baccalauréat Français International), l’une des deux seules sections publiques de ce type dans l’académie de Toulouse.
Colomiers et les avantages de la Zone A pour l'achat neuf
Le reclassement de Colomiers en Zone A à compter du 1er octobre 2024 modifie la structure du marché local. En cette fin d'année 2025, le Prêt à Taux Zéro (PTZ) devient un outil majeur de financement pour les ménages visant les 125 logements privés prévus dans le projet.
Le zonage A offre deux avantages pour l'acquisition d'une résidence principale :
Des plafonds de revenus rehaussés : Un plus grand nombre de foyers columérins et toulousains deviennent éligibles au dispositif.
Une quotité de financement maximale : Pour l'achat d'un logement neuf en zone tendue, le PTZ peut financer jusqu'à 50 % du montant de l'opération (selon les barèmes 2025).
En parallèle, les dispositifs d'accession sociale comme le Bail Réel Solidaire (BRS) ou le Prêt Social Location-Accession (PSLA) restent actifs. Ces mécanismes, combinés à la TVA réduite (5,5 %) applicable dans le périmètre de rénovation urbaine (sous conditions de distance et de ressources), améliorent la solvabilité des ménages et la viabilité économique des opérations neuves dans le quartier.
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